Voyage 2011 des bénévoles du marché de Bouzic à Martel : reportage

lundi 28 novembre 2011
par  Jean-Paul Liégeois
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Le groupe des bénévoles du marché de Bouzic 2011
Pour une plus grande image, cliquez sur la vignette ci-dessous)

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Le départ

Le départ eut lieu à Bouzic à 7h00 du matin en car, direction Souillac

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Départ de Bouzic en car


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Notre ami Guy Rauzet voulait faire une petite allocution au départ du car mais un bon sommeil l’en a empêché. Vous pourrez lire le texte de son allocution, en cliquant sur la vignette ci-dessous. JPEG - 743.3 ko

Le premier arrêt fut un petit-déjeuner bienvenu à Souillac car ces départs dès potron-jacquet, ça creuse !

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Petit déjeuner à Souillac


La ville de Martel

Après une montée sur le causse de Martel, nous sommes arrivés dans la ville du même nom pour une visite en bonne et due forme. Une guide nous attendait avec un enthousiasme typiquement caussenard.

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Début de la visite de Martel avec une guide enthousiaste et aimant son pays caussenard


Les Bouzicois apprécient d’arriver à Martel sous le soleil.

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Brigitte attentive aux parole de la guide
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Claire et Elisabeth en bonne forme matinale


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Martel est dite "la ville aux 7 tours", l’une d’entre elles est la Tour Tournemire ou Tour Carrée (les autres sont celles de Mirandol, Vergnes de Ferron, Fabri, Raymondie, Cordeliers, Eglise Saint Maur). C’était une tour de guet qui servit de prison seigneuriale et municipale.

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La Tour Tournemire dite également Tour Carrée, du XII-XIVe siècle


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Charles Martel n’a rien à voir avec la ville de Martel

Martel est une ville marchande dès sa naissance grâce à sa situation sur l’ancienne voie romaine reliant Brive à Cahors. Son nom n’a rien à voir avec Charles Martel, qui a battu les Sarrazins à Poitiers en 732. Elle s’est surtout développée lorsqu’elle a été intégrée à la vicomté de Turenne qui lui a accordé de grands privilèges et ce, dès le XIe siècle.
Martel était dirigé par 4 consuls. Sa population était nombreuse avec marchands et banquiers.
Au XIVe siècle, Martel devient siège de sénéchaussée royale, autrement dit d’un tribunal royal. Le sénéchal (=juge) est l’équivalent d’un bailli. Cette sénéchaussée attira officiers, juristes et fonctionnaires, contribuant au développement de la ville.
En 1738, la vicomté de Turenne fut vendue au Roi qui supprima les privilèges, ce qui provoqua le déclin de Martel. La truffe a été ensuite source de revenu jusqu’à son déclin au XXe siècle.

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Au centre de Martel


Il fait bon se balader dans les places et ruelles de Martel.

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Une ruelle de Martel
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Martel se prête bien aux photos ! Ici Gilles et Pauline.


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L’église St Maur, construite au XIIe et XVe siècles, faisait partie intégrante du système défensif de Martel. Saint Maur était un disciple de Saint Benoît.

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L’Eglise Saint Maur de Martel vue de la campagne. On peut voir les 7 tours de Martel.


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Récit sur l’Eglise St Maur, derrière l’abside


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Danièle et Michèle , telles des stèles parallèles, sont des fidèles du marché
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Le clocher défensif de l’Eglise Saint Maur


Le typan est roman (XIIe) et a été récupéré d’une première construction, l’église actuelle étant gothique. Il représente Jésus au jugement dernier.

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Rassemblement bouzicois devant le tympan roman de l’Eglise Saint Maur


L’église elle-même est typique du gothique méridional avec une nef unique bordée de chapelles et des voûtes à liernes et tiercerons (nervures des voûtes).

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Le Saint Maur de Martel
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Jean n’a pas vocation de martyr


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Vieille maison à colombages


La visite se poursuit avec une importante arrivée d’informations concernant la vie à Martel au Moyen-Age et à la Renaissance. Elles sont parfois inquiétantes, parfois étonnantes, toujours intéressantes.

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Ces histoires anciennes ne sont pas toujours réjouissantes.


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Étonnante l’histoire de Martel !


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Circonspection à l’écoute de ces informations.


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De plus en plus étonnant.


Un bâtiment important de Martel est le Palais de la Raymondie. Du nom de Bernard Raymondie, receveur des impôts royaux et fils présumé du Vicomte Raymond IV de Turenne, qui le fit édifier à la fin XIIIe siècle (1280). Ce palais mit 50 ans à être construit. C’est un palais urbain typique qui servait de résidence luxueuse à l’étage, de galeries pour les commerces au rez-de-chaussée et de salle de réception.

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Le Palais de la Raymondie


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Des Bouzicois attentifs à l’histoire de Martel. Ils savent que le Maire organise une interrogation écrite juste avant le repas du soir.


La halle de Martel est renommée. Construite au XVIIIe siècle sur l’emplacement de la Maison des Consuls, sa charpente est en châtaignier. Actuellement un marché varié s’y tient le mercredi matin et le samedi matin. Les Bouzicois ont pu en profiter.

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La Halle de Martel.


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Marché sous la halle de Martel. Claire et David dans un milieu coloré.


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Discussion animée et dans la bonne humeur. Ces histoires du Moyen-Age sont stimulantes.


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La cour intérieure du Palais de la Raymondie. Claire et Jean-Paul y sont microscopiques.


Le petit train à vapeur du Quercy

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La visite de Martel terminée, les bénévoles du marché se sont dirigés vers le vieux chemin de fer du Haut-Quercy, toujours équipé de trains à vapeur, pour le grand plaisir des visiteurs.

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Arrivée sur les quais de la gare du chemin de fer à vapeur du Quercy


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Les gabares sur la Dordogne ont été concurrencées, fin XIXe, par le chemin de fer.

La ligne où circulent actuellement ces locomotives à vapeur fait partie de l’ancienne ligne de Bordeaux à Aurillac. Cette dernière fut construite entre 1880 et 1884 et mise en service en 1889. Elle concurrençait à cette époque le trafic des "gabares" sur la Dordogne. Le chemin de fer l’a emporté au début XXe mais, à son tour, il a disparu sur ce tronçon en 1980.
Entre les deux guerres, la ligne servait au transport des truffes du marché de Martel, l’un des plus importants de France (voir plus haut) et ce train a été appelé en conséquence le "Truffadou". Il devait y en avoir pas mal à l’époque, des truffes, pour avoir besoin d’un train !

En 1991, après l’arrêt de l’exploitation (1980), un groupe de passionnés bénévoles, désireux de préserver ce témoin de l’activité régionale a créé une association et réussit à rouvrir la ligne en 1997, à des fins touristiques bien sûr.

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Tout peux rouler sur des rails : locomotive, jeep (Dodge de 1942), brouette !


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Les Bouzicois arrivent près d’une belle locomotive à vapeur allemande de 1938.


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Effectivement les Bouzicois arrivent


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Les Bouzicoises arrivent aussi !


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Chauffeur (au sens strict) aux commandes

C’est le Chemin de Fer Touristique du Haut Quercy (CFTHQ, 5 salariés permanents et environ 200 membres). L’association est propriétaire de 8 km de ligne, en exploite 6,5 km entre Martel et St-Denis-Lès-Martel, une partie taillée dans la falaise de Mirandol qui surplombe la Dordogne de 80m.

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Le trajet du Truffadou (sur image Google Earth)


L’association est responsable de la remise en état du matériel ferroviaire, de son entretien et de sa mise aux normes de sécurité, ce qui est fait tant par les salariés que par les bénévoles. En 2010, les trains de la ligne ont transporté 63 967 voyageurs.
La gare touristique est l’ancienne gare SNCF. Elle est donc toute proche de Martel, au sud.

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Martel et sa gare (sur image Google Earth)


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Remplissage en eau (locomotive à vapeur, donc il en faut de l’eau !)


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Le plein d’eau fait, le train, emmené par la locomotive "Marine" est prêt au départ


Les wagons sont d’époque et ouverts. Il fait bon, c’est parfait, la vue est belle.
C’est Marine, une locomotive à vapeur polonaise de 45 tonnes et 600 CV qui nous emmène.

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Un wagon entier était réservé pour l’équipe bouzicoise


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Les organisateurs en chef sont bien installés


De la gare, pour rejoindre la falaise de Mirandol et la Dordogne, le train doit traverser des défilés calcaires creusé dans le Causse de Martel.

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Passage dans un défilé calcaire


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Les calcaires jurassiques du Causse de Martel défilent.


Il faut aussi passer dans des tunnels.

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Passage dans un tunnel


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Le pierrier et des tunnels (sur image Google Earth)


Après le passage dans un assez long tunnel, c’est le premier arrêt pour découvrir un magnifique panorama sur la vallée de la Dordogne qui, là-bas, sépare le causse de Martel du causse de Gramat.

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Première sortie du train pour un beau panorama sur la vallée de la Dordogne


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La vallée de la Dordogne
Elle sépare ici le causse de Martel (à gauche) et le causse de Gramat (à droite)


Le train redémarre et passe au-dessus d’un impressionnant pierrier (voir sa localisation sur la photo satellite).

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Passage du pierrier


Le train file ensuite directement vers Saint-Denis-lès-Martel, fin de la ligne actuellement exploitée.

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L’église de Saint-Denis-lès-Martel est prise en photo par Paulette.


Le train fait ensuite demi-tour pour rentrer à Martel, ce qui implique de remonter la pente. La locomotive "Marine" doit alors faire donner toute la puissance de ses 600 CV et envoyer moult vapeur. Le beau panorama dordognais revient ensuite flatter nos pupilles.

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Les 600 CV de Marine s’expriment.


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Un magnifique panorama s’offre aux voyageurs ferroviaires.


Après le passage d’un beau pont (voir sur la photo satellite ci-dessus sa localisation), le train s’immobilise pour un deuxième arrêt.



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La falaise Mirandol et son pont


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Christiane et Jean sont en forme


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Michèle décrit le panorama au téléphone


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Ian et Christian en pleine discussion


Mais il faut bien repartir et regagner Martel.

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Un ours en cage ? Non ! C’est jean qui est déjà prêt à repartir !


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Le train redémarre sous la haute surveillance du Maire de Bouzic


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Christiane apprécie le voyage


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Avec ses 60 tonnes, ses 600 CV et sa vitesse de pointe de 60 km/h, Marine, en pleine montée, envoie vapeur et particules dans l’atmosphère. Quand elle passe dans un tunnel, tout cela passe au-dessus mais aussi dans les wagons ! Pittoresque !

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Le passage dans les tunnels avec Marine et ses 60 tonnes à pleine puissance, ça en fait de la fumée rabattue dans le wagon !


L’arrivée sur Martel est également très jolie, permettant de découvrir cette ancienne cité médiévale et ses sept tours.

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Martel, ciel bleu, champs vert et fumée de Marine


Ce voyage bouzicois sur les rails quercynois est immortalisé par certaines dans le livre d’or.

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Annie et Claire laisse un petit mot dans le Livre d’Or de la CFTHQ


En reprenant le car, les Bouzicois savent qu’ils vont se diriger vers leur déjeuner, dans une ferme-auberge.

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Reprise du car pour aller déjeuner


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Gracieuse et Gilbert, toujours de bonne humeur.


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La ferme-auberge

La ferme-auberge et un moulin à huile de noix non loin de Martel.

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En arrivant au moulin, Gilles et René, voisins du Bourg émettent une série d’hypothèses concernant le menu du déjeuner.
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Bernard fait un tabac en compagnie connue


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Le moulin-auberge est un bâtiment du XVe siècle isolé sur le causse. La salle de déjeuner est une extension récente.

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Le déjeuner au moulin-auberge.


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Bernard et Pauline devisent


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Notre hôte expliquent aux Bouzicois comment casser une noix.


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Cette leçon à des producteurs de noix a mis de la bonne humeur après la stupeur provoquée par l’absence d’apéritif.


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Un bout de table. Où est le pousse-café ? Pas prévu ! Comment ?


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Il paraît qu’il n’y a pas de pousse-café !


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Le repas et le café étaient bons.


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Nous ne bougerons pas tant que le pousse-café ne sera pas versé.


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Un seul verre nous manque et tout est dépeuplé.


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Finalement, la goutte arrive, grâce au lobying de notre maire


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Vous n’auriez pas une marie-jeanne ?


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Gilles et Annie sous le tabac (c’est septembre).


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Aperçu de table au féminin, Michèle et Claire.


Après le repas, une visite du moulin à huile de noix est effectuée, dans ces salles existant depuis plusieurs siècles.

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Huile de noix du moulin de Martel


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Le moulin, toujours en fonctionnement.


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Discussion entre connaisseurs


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La presse et l’huile produite


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Les noyers, juste à côté du moulin.


Après cette visite, le groupe bouzicois est reparti vers la Dordogne pour une visite des jardins de Cadiot.

Les jardins de Cadiot


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Les jardins de Cadiot est une dénomination au pluriel car il s’agit en fait de 10 jardins répartis sur 10 hectares.
Avant le 16e siècle, Cadiot était un village prospère qui s’étageait sur plusieurs terrasses dans la vallée de la Dordogne (actuellement commune de Carlux). Seules les terrasses subsistent et ce sont elles qui accueillent les jardins.

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Des explications sont fournies par la propriétaire, Madame Decottignies.


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Un banc d’arbre bienvenu !


Après ces explications, les Bouzicois du marché ont décidé de profiter de ce bel endroit et du gros tilleul pour faire une photo de groupe.

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Le groupe des bénévoles du marché de Bouzic
Pour une photo plus grande, voir en début d’article.


Ce fut ensuite une visite libre et tout ce petit monde s’est égayé dans les jardins.

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Les Bouzicois s’enfoncent dans les jardins de Cadiot. Combien reviendront ?


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Discussion botanique entre David et Julie


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Mouvement général dans la pivoineraie


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Discussion anglo-belge sur un jardin français

Les jardins de Cadiot comprennent donc 10 jardins :

  • Le Potager
  • Le Verger
  • La Pivoineraie
  • Le Labyrinthe
  • La Roseraie sauvage
  • Le Jardin de poésie
  • Le Jardin anglais
  • Le Jardin sauvage
  • La Chambre du sphinx
  • Le Jardin toscan

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    La roseraie sauvage


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Que d’herbes et des hautes !


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Regroupement dans le jardin de poésie


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Discussion scientifique entre Raymond et Jean-Paul dans un jardin de poésie. Allons Messieurs !


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Un jardin anglais mais ce n’est pas une Anglaise.


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Le jardin anglais et un Anglais. Remarquez l’aisance dans le déplacement.


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Géologue saharien dans un jardin exotique.


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Mais qu’y a-t-il donc devant Raymond ?


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Ce sont des petites têtes dans le jardin sauvage


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Une sculpture zimbabwéenne


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Dans le jardin toscan, Claire et Raymond accompagnent le mouvement de la statue


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Petite relaxation dans le patio avant de quitter les Jardins de Cadiot


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Galetchat


Sous le regard bienveillant d’un galet-chat, les Bouzicois quittent les beaux jardins de Cadiot pour retourner à Souillac pour y souper. Finalement, tout le monde est revenu.

Le repas du soir à Souillac


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Le repas du soir à Souillac, à la Terrasse


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La grande véranda de la Terrasse accueille les bénévoles bouzicois


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La table du Maire


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Mike est un boute-en-train


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Jean fait une sortie hasardeuse au photographe. C’est la fin de la journée.


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Une table bouzicoise groupant ouest, est et centre.


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Ici par contre c’est le norrrd !


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Une table féminine et son patriarche


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BNL : Bourg, Nadalie et Langlade


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Un triumvirat attendant son cognac


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Il se fait tard !


Il se fait tard. Il nous faut rentrer à Bouzic après cette belle journée ensoleillée, culturelle, historique, gastronomique, fleurie et surtout grandement amicale.